Subject: Lettre d'information Fondation Brofman- été 2019 - Le passage dans le chakra du coeur

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Fondation Brofman

Lettre d'information
- Été 2019 -
Après vous être connectés comme des soleils,
en respectant l'espace de chacun,
ce mois-ci, nous vous invitons à passer
dans un autre espace,
un espace partagé,
celui du cœur,
le chakra du cœur,
où règne l'amour, l'acceptation, la compassion.

Le symptôme du mois : Le syndrome d'Asperger

Le syndrome d'Asperger est une forme d'autisme qui se caractérise par des difficultés d'interaction sociale, ainsi que des comportements et des intérêts restreints et répétitifs, souvent accompagné de maladresse physique.

L'autisme est lié au chakra couronne et au sentiment de connexion de la personne avec son père et l'autorité. Quand ce chakra est fermé, la personne éprouve un sentiment d'isolement, vivant dans son propre monde fermé avec des difficultés de connexion avec les autres, et ne sentant pas l'amour autour d'elle. Les schémas répétitifs de comportement indiquent des tensions dans le chakra du plexus solaire et des questions de contrôle, ainsi que le chakra racine et un sentiment d'insécurité ou de peur, et la maladresse physique peut aussi indiquer des tensions dans le chakra racine et la possibilité d’un manque de connexion avec la mère, bien que cela puisse être lié à l'extrême sentiment d'isolement dû à un chakra couronne fermé.

Comme avec n'importe quel symptôme, il est important de considérer ce qui se passait dans la vie de la personne quand le symptôme a commencé, en ce qui concerne son sens de connexion avec ses parents.

On parle de nous

Aperçu en image de la conférence avec le Docteur Jean-Philippe Wagner et Jérôme Gadeyne

" Guérir autrement ? Cancérologie et conscience humaine "

Article écrit par Annick Brofman pour la revue Recto-Verseau
Chronique Radio pour DeltaFM avec Jérôme Gadeyne
Changement de paradigme global
Platon avait déjà notifié le cycle de la précession des équinoxes. C'est un très lent changement de direction de l'axe de rotation de la Terre.

Ces mouvements avaient été quantifiés par Platon selon un cycle global de précession des équinoxes de 25920 ans. Ce cycle divisé en 12 nous donne des ères de 2160 ans.

Un des effets de ce cycle est que la place du soleil dans le ciel lors de l'équinoxe de printemps change de place et glisse lentement devant les 12 constellations du zodiaque.

En accord avec l'observation du ciel, nous sortons tout juste de l'ère des Poissons et rentrons dans l'ère du Verseau.

Au niveau collectif, nous pouvons observer les attitudes des humains sur la Terre pendant ces deux derniers milliers d'années correspondant à l'ère des Poissons. Globalement, nous pouvons remarquer des jeux de pouvoir et de contrôle entre les civilisations et au sein même des sociétés, des divisions de territoires, la volonté de développer de la puissance avec des guerres sous toutes leurs formes, une place de la liberté en question.
Ces thèmes : liberté/pouvoir/contrôle correspondent à une zone de la conscience humaine que nous relions au chakra du plexus solaire et à l'élément feu.

C'est intéressant aussi de noter que les symptômes les plus étendus pendant l’ère des Poissons affectaient par exemple la peau avec la lèpre. Les gens pouvaient être défigurés puis se cacher le visage par honte ou culpabilité. La peste fut aussi un symptôme majeur collectif. Dans sa forme bubonique elle crée des douleurs musculaires et de la fièvre reflétant un sentiment d'impuissance et de la colère.
La peau et les muscles comme système, et le visage sont associés au chakra du plexus solaire. Le thème de la colère peut aussi être en lien avec ce chakra.

L'ère des Poissons, de ce point de vue, serait donc relié au chakra du plexus solaire. L'attention globale des humains avait tendance à être plus attirée dans cette zone de la conscience en se créant des expériences pour pouvoir clarifier et harmoniser les aspects associés : liberté/contrôle/pouvoir.

Actuellement, nous entrons dans l'ère du verseau. Et quels sont les symptômes que nous pouvons observer globalement ? Le sida, VIH, grippe aviaire, H1N1 et ses déclinaisons. Ces symptômes affectent le système immunitaire. Celui-ci est contrôlé par le chakra du cœur et les parties de la conscience qui y sont associées sont les perceptions de l'amour et ce qui se passe en nous dans les relations avec les personnes proches du cœur.

L'attitude globale des humains en ce moment à tendance à pointer les endroits sur la planète où les choses se déroulent d'une manière maligne. Parfois, ce qui localement pourrait sembler organique ne l'est peut-être pas pour la globalité. Et ces processus malins sont rendus de plus en plus visibles, encouragés par la rapidité de l'information. Ainsi nous pouvons nous en occuper globalement. Nous commençons à nous comporter comme un système immunitaire. À l'image de notre corps physique où si une partie de notre organisme est menacée, l'ensemble de l'organisme se mobilise pour faire quelque chose.

L'ère du verseau serait donc associé au chakra du cœur. L'attention de la conscience collective serait donc de plus en plus attirée à observer ce qui se passe dans la zone des relations avec les personnes proches du cœur, des perceptions de l'amour, de la compassion, de l'acceptation, à se "relationner" sainement avec les autres. Ainsi, pendant l'ère du verseau nous allons créer des expériences pour harmoniser cette zone de la conscience.

Le passage de l'ère des Poissons à l'ère du Verseau implique un changement de paradigme pour aller de mieux en mieux et évoluer collectivement. Et comme tout commence dans la Conscience, ce changement sera de plus en plus visible dans le monde physique proportionnellement à ce qui se passe dans les consciences individuelles qui composent la conscience de groupe.

Si vous voulez être en alignement avec la tendance de l'ère du Verseau, vous pouvez prendre des moments pour observer et accepter ce qui se passe dans votre chakra du cœur. Ainsi, vous encouragez ce changement de paradigme.


Jérôme
L'effet miroir - L'art de la communication
Lorsque le guérisseur offre un feed-back au sujet après la guérison, certaines dynamiques de communication deviennent évidentes. Nous savons que le guérisseur ne doit pas imposer sa vision des choses au sujet, mais seulement ce qu’il perçoit à travers sa bulle. Le sujet peut dire que la vision du guérisseur évoque quelque chose pour lui ou bien qu’elle lui semble étrangère.

Dans le premier cas, la communication peut être acceptée comme valable. Ce que le guérisseur a expérimenté et qu’il a communiqué correspond à l’expérience du sujet. La communication est acceptée. Il arrive aussi que le sujet ne se rende compte seulement qu’un certain temps après sa guérison que ce qui lui a été communiqué lui semble fondé. Cela peut se produire d’une manière différente de celle que le guérisseur avait imaginée.

Nous devons nous souvenir que le guérisseur exprimait son point de vue à travers la vision et la coloration de sa propre bulle. Le feed-back doit pourtant avoir un sens pour le sujet. L’image peut être la même, mais avec une interprétation différente.

Lorsque la personne guérie rejette ce que le guérisseur lui a communiqué, celui-ci doit examiner la nature de ses propres perceptions. Peut-être la personne admettra-t-elle quelque chose plus tard, peut-être que non. Nous savons que chacun de nous se trouve dans une bulle, le filtre de nos perceptions, et que l’intérieur de cette bulle est un miroir. Le guérisseur a-t-il vu un reflet de lui-même ? Se pourrait-il que ce qui a été décrit dans la communication soit reconnu comme un point de vue partial ou fondé sur des perceptions et des préjugés anciens ? Peut-être, ou peut-être que non, mais il est important que le guérisseur se pose ces questions.

Si une information identique est communiquée de manière répétée par le même guérisseur lors de guérisons différentes, celui-ci doit examiner de plus près à quel point ces informations peuvent avoir un sens pour lui et il doit se demander s’il a besoin d’appliquer à sa propre vie les conseils et l’information en retour qu’il a transmis aux autres durant ses guérisons.

Même si le sujet a fait siennes toutes les informations communiquées par le guérisseur, celui-ci peut toujours choisir de remarquer les « thèmes » récurrents et se demander si la communication a un sens pour lui.

Le guérisseur peut profiter de la guérison du sujet pour avoir lui-même un feed-back sur la manière de résoudre ses propres problèmes. Le guérisseur peut avoir l’impression que le sujet a les mêmes problèmes que lui, mais qu’il les a vécus avec davantage de stress, peut-être même jusqu’à susciter des symptômes mortels.

Le guérisseur peut alors comprendre dans quelle voie erronée il se dirigerait s’il ne changeait pas d’orientation. Il peut considérer le sujet avec compassion et lui parler comme s’il se parlait à lui-même, en sachant que le sujet l’a aidé à guérir et en le remerciant pour cela.

Même s’il n’y a apparemment pas de similitudes entre les symptômes du sujet et la vie du guérisseur, celui-ci peut remarquer qu’il a attiré un certain type de guérisons. Toutes ces guérisons avaient-elles quelque chose en commun ?

Si on observe un thème commun, le guérisseur peut y prêter attention. Le guérisseur peut savoir que l’univers lui procure tout ce dont il a besoin pour trouver la plénitude en même temps qu’il guérit les autres.

Nous pouvons dire que nous attirons vers nous des personnes qui puisent en nous-mêmes des informations dont nous avons nous-mêmes besoin. Notre propre conscience est donc la source de ce que nous avons besoin de savoir.

Nos perceptions nous procurent toutes les informations dont nous avons besoin pour conduire notre vie. Ainsi, chacun de nous est son propre gourou, son propre maître et son propre guide. Il suffit pour cela de décoder ce que nos propres perceptions nous ont montré.

Avec cette vision des choses, nous pouvons connaître la liberté authentique et assumer pleinement notre existence.

Un guérisseur peut offrir ses services à ceux qui semblent en avoir besoin, tout en leur laissant le droit d’accepter ou de refuser. Si ces personnes choisissent de refuser l’aide proposée, le guérisseur devrait examiner la manière dont il perçoit ces personnes pour éventuellement la modifier.

Par exemple, le guérisseur peut estimer qu’un individu a besoin d’une guérison parce que ses valeurs diffèrent des siennes. Cet individu est peut-être en colère en ce moment, mais peut parfaitement vivre avec cette émotion – ou bien la relation de cet individu à l’argent, à la sexualité ou aux autres peut être différente de celle du guérisseur.

Le guérisseur peut estimer que la conscience de cet individu n’est pas claire, mais celui-ci peut penser le contraire. S’il n’a pas envie de recevoir une guérison, ou s’il ne pense pas que cela soit nécessaire, le guérisseur doit envisager la possibilité que ce sont ses propres préjugés qui ont besoin d’être guéris.

S’il est évident que l’autre personne est affectée d’un symptôme physique et qu’elle a donc besoin d’une guérison, mais qu’elle la re­fuse pour une raison ou une autre, le guérisseur peut choisir de considérer cette personne avec compassion, en évitant d’exercer toute pression avec son offre d’aide. Peut-être est-il nécessaire que la guérison se produise plus tard, ou d’une autre manière, ou avec un autre guérisseur.

Il est intéressant d’appliquer les mêmes dynamiques de communication à la vie quotidienne. Après tout, il s’agit d’un événement dans lequel chacun des participants exprime sa propre expérience et ce qui est vrai pour lui. Lorsque le respect mutuel qui caractérise la conduite d’une guérison est appliqué à la communication interpersonnelle, nous reconnaissons que ces dynamiques sont similaires.

Lorsqu’une communication s’instaure, on suppose que les deux parties y trouvent un intérêt. Lorsque votre perception des autres sus­cite en vous un désir de leur dire quelque chose, demandez-vous si ces personnes désirent autant écouter vos conseils que vous les leur don­ner. Si c’est le cas, la communication est possible.

Lorsque la personne avec qui vous désirez dialoguer est moins intéressée que vous par ce dialogue, vous devez vous interroger. Appa­remment, ce que vous voulez exprimer n’intéresse pas cette personne.

À qui donc étaient destinées vos paroles ? Peut-être à vous-même. Peut-être que plus tard vous aurez l’occasion d’entamer le dialogue avec cette personne et chacun d’entre vous pourra découvrir ce que lui apporte ce dialogue. Lorsque vous vous adressez aux autres, vous vous adressez parfois à vous-même, et vous pouvez alors découvrir que vous vous donnez un excellent conseil. Vous pouvez même remercier l’autre personne pour avoir suscité en vous ce conseil.

Si vous êtes celui à qui est destinée l’information, sachez que tout le monde a le droit d’avoir sa propre opinion. L’autre personne ne fait qu’exprimer son point de vue. Si la communication suscite une résis­tance, il faut chercher à savoir ce qui se cache derrière celle-ci.

Demandez-vous si ce qui a été communiqué évoque quelque chose en vous, ou s’il est évident que votre interlocuteur est en train de regar­der dans un miroir magique, qu’il est en train de se parler à lui-même.

Lorsque chacun des participants d’une communication se sent li­bre d’exprimer son propre point de vue et son expérience de ce qui a été communiqué par l’autre, les malentendus peuvent être éclaircis et les désaccords fondés sur ces malentendus peuvent être résolus. Cha­cun peut comprendre la bulle de l’autre. Lorsque chacune des positions est reconnue, un autre niveau de communication est possible.

En utilisant les mêmes principes, nous pouvons examiner la nature de nos propres perceptions et en tirer un enseignement, même si nous n’avons pas manifesté ces perceptions dans un dialogue avec autrui.

Le filtre de nos perceptions nous entoure, à la manière d’une bulle, comme vous le savez parfaitement bien maintenant. Tout ce que nous expérimentons est perçu à travers ce filtre. Ce filtre colore tout ce que nous percevons. En certaines circonstances, nous pouvons dire que nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont, mais telles que nous sommes : nous projetons sur les autres nos perceptions de leurs moti­vations et ce que nous croyons bon pour eux.

Lorsque nous ressentons des résistances envers un individu, nous pouvons observer ce qui le caractérise. Quel genre d’individu est-il ? Quels mots pourrait-on utiliser pour le décrire ? Nous serons peut-être embarrassés de découvrir qu’en réalité, nous avons connu des situa­tions dans lesquelles ces mots nous auraient décrits parfaitement. Nous pourrions penser que nos motivations étaient correctes à cette époque. Nous devons aussi considérer que cet individu justifie probablement ses actions de la même manière et qu’il a peut-être les mêmes motivations.

Lorsque nous sommes capables de voir les autres comme un reflet de nous-mêmes, la résistance disparaît en grande partie, si ce n’est complètement. Là où il y avait un mur qui entravait la communication, il y a maintenant une porte ouverte et une possibilité de communiquer. Nous sommes alors capables de voir l’autre avec compassion et d’ac­cepter la sagesse que cette compassion engendre. Ainsi, nous avons été capables d’élever nos perceptions du niveau du plexus solaire jusqu’au niveau du cœur. Nous pouvons alors accepter les autres tels qu’ils sont. La résistance disparaît.

Nous pensions peut-être pouvoir pousser l’autre à agir différemment. Toutefois, à l’exception des actions qui menacent le corps social dans lequel nous vivons, la seule chose qui devrait nous importer en tant qu’êtres libres, ce sont nos propres actions et attitudes. En acceptant l’autre tel qu’il est, nous restons libres de décider de ce que doit être le cours de nos propres actions.

Si le processus décrit ici évoque quelque chose en vous, c’est que vous vous êtes mis à la place de l’autre en vous disant : « Si j’étais cette autre personne, j’agirais différemment. » En fonction de vos valeurs, si vous étiez cette autre personne, vous agiriez de manière erronée. Vous n’avez sans doute pas pris en considération le fait que cette personne a peut-être d’autres valeurs. Ce qu’elle fait fonctionne peut-être pour elle, en accord avec ses propres valeurs. Elle a suscité en vous des conseils que vous feriez bien de suivre. Nous pouvons alors dire que vous étiez en train de vous parler à vous-même. Écoutiez-vous également ?

Le monde est plein de gens qui déambulent et qui se parlent à eux-mêmes, mais seuls certains d’entre eux s’écoutent. Lorsque nous nous en rendons compte, nous continuons à déambuler en nous parlant à nous-mêmes, mais cette fois, en nous écoutant également.

Bien que cet aspect « miroir » ne soit généralement pas conscient pour la plupart des gens au niveau habituel de perception des trois premiers chakras, on le ressent véritablement à partir du niveau du chakra vert, le chakra du coeur. Dans ces conditions, les autres sont vus directement comme des reflets de nous-mêmes, et tous les processus décrits ci-dessus deviennent immédiatement évidents.

Nous sommes alors capables de nous voir à la place de l’autre et de lui parler comme si nous nous parlions à nous-mêmes. Nous pouvons alors ressentir davantage de compassion pour l’autre, grâce à la sagesse qu’entraîne la compréhension de cet être.

Nous sommes alors capables de communiquer plus librement, plus facilement et d’utiliser cette communication pour aimer davantage.

L’amour guérit.

Tout peut être guéri.

© 2003 Martin Brofman 
Histoire à succès du mois
Le dernier stage m’a ramenée en quelque sorte "à la maison ». Plus en contact avec moi-même, le "vrai moi" et cela m’a plu de revoir les idées de la méthode et l’authenticité de l’enseignante, Annick, et de Magali.

Je constate que j’ai plus de facilité pour accepter l’apprentissage (musical en particulier, puisque j’avais demandé à guérir du trac) et moins d’appréhension du jugement des autres personnes, d’accord ou pas avec ce que je dis, fais ou ne dis pas ou ne fais pas, et que moi-même j’arrête de me croire "mauvaise" ou "impuissante" quand je me juge à travers mon action et son succès.

Ainsi, je sens que l’ancienne perception de culpabilité, cette appréhension d’avoir mal agi, n’est plus là et je vois aussi que certains membres de mon entourage qui faisaient appui sur ce qu’ils appelaient des erreurs, sous-entendu les miennes ne s’expriment plus comme avant, à ce sujet.

Pour la vue, il y a des moments de clarté beaucoup plus long qu’avant. Où je vois net et lumineux. J’ai envie de stabiliser cet état.

Physiquement, il y a plus de souplesse. pour le reste : encore quelques des points à régler, non perçus actuellement physiquement


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